MONGOLIE 

           La Boucle Nord : du lac Khuvsgul au lac Blanc 

Départ unique  du 07 au 22 août 2024 (16j/14n)

à partir de 2 270 € sur la base de 10 personnes 
(plus le vol  international estimé à entre 1 250 et 1 400 €) 

Ce nouveau projet au nord et au centre de la Mongolie permet de découvrir les principaux vestiges culturels et archéologiques du pays. D'étonnants paysages volcaniques, ponctués de lacs, vous enchanteront ainsi que les beaux édifices monastiques pour une approche bouddhiste tibétaine haute en couleurs. Ce voyage s'adresse aux amateurs de grands espaces, attirés par les rencontres humaines, de l'infatigable cavalier des steppes à la vie des éleveurs nomades.

C'est à Oulan Baatar, capitale du pays que débute le voyage ! Située à 1 350 m c'est un curieux mélange de modernité et de yourtes. 
A travers la steppe, en direction du nord, première visite au monastère d'Amarbayasgalant XVIe S. situé dans une vallée isolée. Poursuite dans la région volcanique d'Urantogoo proche d'Erdent, ville  industrielle dédiée au cuivre. Arrivée au lac Khuvsgul, surnommé "la perle bleue de Mongolie" avec ses eaux claires qui assurent la transparence. Deux jours pour profiter des lieux. Tout proche, visite du site archéologique de Uushigiin Uver avec ses stèles à cervidés. La piste nous conduit vers le lac Blanc
Terkhiin Tsagaan Nuur, niché dans une vaste vallée volcanique. Balade jusqu' au sommet  de l'ancien volcan  Khorgo d'où la vue est splendide. Puis passage par les gorges de la rivière Chulluut en passant par Tsetserleg pour arriver aux sources chaudes de Tsenkher Jiguu. Elles alimentent des bassins d'où jaillissent les eaux sulfureuse (Baignades recommandées !).
Enfin, nous atteindrons la superbe vallée avec ses chutes de la rivière Orkhon et son ermitage Tovkhon Khiid installé a flanc d'une montagne sacrée. Karakorum et visite du premier monastère Erden Zuu (les cent trésors) établit en Mongolie en 1586.  Retour à Oulan Baatar où quelques visites et un concert seront prévus afin de compléter la compréhension de ce pays en pleine évolution sociale et économique !

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Le berger mongol, n'ayant souvent vu que la steppe, est cependant capable de percevoir la vérité du monde et d'en sentir réellement une partie harmonieuse.

La monotonie de la steppe mongole,

c'est le souffle divin de la nature,

pareil à celui de l'océan, pareil au grand désert.

Tout est finesse Tout est nuance.

Comprendre et aimer la symphonie de la steppe demande du temps, car, pour le visiteur néophyte que je suis, il n'est peut-être pas aisé de percevoir cette riche polyphonie en une seule approche car,

c'est à la fois le murmure des herbes sous le vent,

le cri d'un aigle dans les cieux,

le modeste chant d'un oiseau solitaire...

Pour entendre et ressentir tout cela, il faut s'arrêter, avoir laissé de côté toutes les conventions de notre existence et le confort.

Il faut s'incliner devant la nature divine,

être imprégné d'une grande humilité et d'un immense respect pour elle,

se figer, le coeur plein de ravissement jusqu'à l'émerveillement...                         

(Extrait par JM Bertrand)